08-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome VIII-Vol.2-Sermons.html |
A008000551 |
Saint Jérôme demande pour quelle cause il est dit de la crainte seule que le Seigneur l'en remplira, et il répond: Parce que la crainte est nécessaire à tous, et que sa pleine source devait être en Celui qui devait la dispenser à tous. |
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A008000667 |
L'Epoux répond; il place les premiers éléments de la connaissance de Dieu dans la connaissance de soi-même: Si tu t'ignores, ô la plus belle. |
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A008001791 |
Après que vous aurez tout fait, dites: Nous sommes des serviteurs inutiles. Le Seigneur dit de Jean: Un Prophète, oui, je vous le dis, plus qu'un Prophète; mais Jean répond: Je ne le suis pas. |
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A008001981 |
[269] (Les pauvres crient après nous: «Ce que vous dévorez nous appartient; toutes vos dépenses inutiles sont un vol cruel que vous nous faites.») Mais la femme répond: Oui, car les petits chiens, etc.. |
21-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXI-Vol.11-Lettres.html |
A021000122 |
— Dieu répond à tous ceux qui lui demandent conseil; d'où vient que beaucoup n'entendent pas sa réponse? — Le serviteur fidèle. |
23-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXIII-Vol.2-Opuscules.html |
A023000361 |
Le 16 avril 1596, le premier répond ainsi à une demande du second: «Selon vos désirs, j'écris au R. P. Chérubin au sujet de cette démonomanie.» Plusieurs mois après, le 14 janvier 1597, le sénateur dit à son ami: «J'ay remis au Pere Cherubin vostre traitté incontinent que je le vis a Necy apres vous avoir laissé. |
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A023001047 |
De même, si tu demandes à Calvin: Qui t'a appelé? Dieu, répond-il, par un appel extraordinaire. |
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A023001047 |
Si tu interrogés Luther: Le magistrat charnel, répond-il, par un appel ordinaire. |
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A023001144 |
A propos des cérémonies du Baptême, il convient qu'elles sont d'une origine très antique, mais il ajoute aussitôt: «Il m'est cependant permis, et à toutes les personnes pieuses, de repousser tout ce que les hommes ont osé ajouter à l'institution du Christ.» Dans la question du Sacrement de l'Autel conservé comme viatique des malades, question de grande importance pour confirmer la foi en la présence réelle du corps du Seigneur, il se fait cette objection: «Mais ceux qui agissent ainsi suivent l'exemple de l'ancienne Eglise.» Il y répond en ces termes: «J'avoue qu'en une matière si grave, et où l'erreur n'est pas sans grand danger, rien n'est plus sûr que de suivre la vérité.» Comme si l'Eglise ancienne avait suivi la fausseté! Et ailleurs, à propos des cérémonies de la Messe: «Si quelqu'un veut défendre des inventions de cette sorte en se basant [158] sur leur antiquité, je n'ignore pas qu'assez près de l'âge apostolique la Cène du Seigneur a été couverte de rouille; mais c'est là un effet de l'audace qu'a l'homme se fiant à lui-même.» Dans un autre endroit il avoue que les anciens Docteurs ont d'ordinaire employé le mot de Messe «au pluriel». |
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A023001309 |
Si vous lui demandez s'il consent à écouter les Pères anciens et les Conciles: «Je les écouterai,» dit-il, «si leur jugement est exactement conforme à l'Ecriture.» Mais après qu'ils auront porté leur jugement, demandé-je, vous en tiendrez-vous à leur sentence? Je m'y tiendrai, répond-il, si cependant je l'examine d'abord. |
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A023001311 |
Cependant, insisté-je, qui jugera si le Concile porte une sentence conforme aux Ecritures? Moi, répond Luther, car « l'homme spirituel juge de tout.» Ainsi, du Concile et du jugement du monde entier tu en appelleras à toi et à toi seul? Ainsi, le suprême arbitre du droit divin et humain, ce sera la tête de Luther, tête folle, qu'elle vous plaise ou non?. |
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A023001311 |
Mais, mon Luther, te soumettras-tu, au moins, si le Concile t'est défavorable? Je distingue, répond-il: si la sentence est selon les Ecritures, je me soumettrai; autrement, je refuserai tout. |