04-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome IV-Vol.1-Traitte de l'amour de Dieu.html |
A004001012 |
Et lhors, Theotime, l'ame fait une certaine saillie d'amour, non seulement sur l'action qu'elle considere, mais sur Celuy duquel elle procede: Vous estes bon, Seigneur, et en vostre bonté apprenes moy vos justifications; Vostre gosier, c'est a dire la parole qui en provient, est très suave, et vous estes tout desirable; Helas, que vos paroles sont douces a mes entrailles, plus que le miel a ma bouche! Ou bien avec saint Thomas: Mon Seigneur et mon Dieu! et avec sainte Magdeleine: Rabboni! ha, mon Maistre!. |
05-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome V-Vol.2-Traitte de l'amour de Dieu.html |
A005001269 |
Ainsy Magdeleyne va cherchant le Sauveur, et estant proche de luy quant au lieu, toutes ses affections estoyent esparses a le chercher ça et la autour du monument; mays soudain que le Sauveur luy fait sçavoir sa presence par le seul mot: Maria, toute son ame esparse se ramasse a ses pieds par un'autre parole: Rabboni. |
09-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome IX-Vol.3-Sermons.html |
A009000898 |
Voyez-vous la Magdeleine? Elle estoit touchée de l'amour affectif quand voyant son Maistre et luy voulant bayser les pieds, elle s'escria: Rabboni. |
10-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome X-Vol.4-Sermons.html |
A010000275 |
Et elle, tout illuminée, s'escria: Rabboni, Maistre, demeurant toute tu isée et resjouie.. |
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A010000276 |
Et, comme Magdeleine, vous respondrez: Rabboni, mon Maistre! Maistre que nous avons suivi, Maistre auquel nous avons obei, Maistre auquel nous nous sommes conformées, et pour et avec lequel nous nous sommes «crucifiées, pour apres cette vie estre glorifiées avec luy» en l'eternité de la vie bienheureuse, et là chanter avec nostre reyne sainte Magdeleine les cantiques eternels par tous les siecles des siecles. |
12-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XII-Vol.2-Lettres.html |
A012001549 |
Je vous en supplie, et la Seur Anne Seguier, dites souvent a Dieu, comme le Psalmiste: Je suis vostre, sauvés moy, et comme la Magdeleine estant a ses piedz: Rabboni, Ah, mon Maistre; et puys, laissés le faire. |