11-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XI-Vol.1-Lettres.html |
A011001562 |
En attendant, je prierai le Dieu éternel de vous conserver pour l'avantage de l'Eglise, et baisant respectueusement vos mains sacrées et paternelles, je demeurerai,. |
14-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIV-Vol.4-Lettres.html |
A014001151 |
Nul remede a cela, ma Fille, que de s'humilier et attendre en patience la sainte grace de Dieu, recommandant doucement nostre esprit entre ses mains paternelles.. |
16-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVI-Vol.6-Lettres.html |
A016000922 |
Or cette souveraine Bonté, sans doute, ma tres chere Cousine, s'inclinera vers vous et viendra dedans vostre cœur pour l'ayder et le secourir en cette tribulation, si vous vous jettés entre ses bras et vous resignés en ses mains paternelles. |
17-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVII-Vol.7-Lettres.html |
A017000137 |
— Paternelles excuses. |
18-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVIII-Vol.8-Lettres.html |
A018000155 |
— Salutations paternelles. 144. |
19-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIX-Vol.9-Lettres.html |
A019000025 |
— Salutations paternelles. |
20-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XX-Vol.10-Lettres.html |
A020000081 |
— Condescendances paternelles. |
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A020003031 |
O mon Dieu, ma tres chere Fille, combien estes vous obligee a cet Amour eternel, qui vous est si bon et si doux, et qui, comme un bon Pere, a tant de soin de vous inspirer continuellement le desir d'estre toute sienne! Comme pourries vous jamais esconduire ses paternelles semonces, ni rompre le sacré et advantageux marché qu'il a fait avec vous, par lequel il se donne tout a fait a vous, pourveu que vous soyes tout a fait a luy? Soyons le meshuy sans reserve, ma tres chere Fille, et sans condition quelcomque. |
25-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXV-Vol.4-Opuscules.html |
A025001708 |
Mays il faut considerer aussi qu'en Italie les filles et femmes sont presque autant asseurees et separees de la conversation des hommes dans leurs maysons paternelles comme si elles estoyent dans un Monastere; ou au contraire, es païs de deça elles ne sçauroyent demeurer chez elles ni chez leurs parens qu'elles ne soyent perpetuellement inquietees et attaquees des conversations et rencontres d'hommes, a [213] cause de la grande liberté qui regne pour ce regard. |