14-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIV-Vol.4-Lettres.html |
A014002913 |
Or, il se rappelle très bien avoir vu dans un ancien missel cet office, et d'avoir servi ladite Messe du bienheureux Amédée, célébrée par un de ses oncles qui [349] était aussi prieur claustral et se nommait Amédée. |
24-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXIV-Vol.3-Opuscules.html |
A024002373 |
— La « curialité d'Ugine » et les oncles de M lles de Cerisier.. |
||
A024002377 |
C'est un point de pieté et de justice tout ensemble, car ces pauvres filles sont pupilles, et on ne sçauroit preuver solidement la mort de leurs oncles ausquelz la curialité d'Ugine appartenoyt: de sorte qu'en cette (sic) doute du trespas on pourroit leur præfiger un terme dans lequel on les laisseroit joüir de laditte curialité et passé lequel elle seroit reunie au revenu de Sa Grandeur; car aussi bien, le droit qui presuppose que chasqu'homme puisse vivre cent ans, et qu'en effect il les vive, portera que ces filles jouissent encor plus de soixante ans, puisque leurs oncles dont on ne peut preuver la mort, l'un estant allé en Levant et l'autre en Hongrie, ne sçauroyent avoir, s'ilz sont en vie, plus de trentecinq ou quarante ans.. |
25-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXV-Vol.4-Opuscules.html |
A025000615 |
On donnera plus aysement dispense aux Novices de parler a leurs peres et meres, freres et seurs, oncles et tantes, et mesme a visage descouvert; comme au contraire on les exemptera, tant qu'il se pourra bonnement faire, de parler a tous autres.. |
||||||
A025001685 |
b) Une autre addition, article 3, pour l'entrée des «peres, filz, freres,... oncles», en cas de très grave maladie, n'aurait-elle pas été motivée par les grandes maladies de la Mère de Chantal et par celle de Sœur Claude-Françoise Roget qui mourut en juin 1613? (Voir tomes XV, note (307), p. 106, et XVI, Lettre DCCCXCII). |
||||||
A025001740 |
Or, outre ceux lâ qui pour telles necessités urgentes entreront dans la Mayson, pour la consolation des plus proches parens des Dames, les peres, filz, freres et les oncles, freres des peres ou des meres, pourront entrer pour visiter leurs filles, meres, seurs et nieces quand elles seront tellement malades qu'elles ne pourront descendre au parloir, et qu'on jugera leur maladie devoir estre perilleuse. |
||||||
A025002326 |
b) L'Archevêque demande que les entrées «des proches parens en cas de maladie perilleuse» soient limitées aux «peres et enfans seulement»; or, à l'article 3: De la clausure quant a la forclusion des hommes, la sainte Fondatrice a biffé les mots: «freres et les oncles, freres des peres ou des meres» (voir ci-après, var. 1833, p. 353). |