Mot «Nevers» [83 fréquence]


16-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVI-Vol.6-Lettres.html
  A016000902 

 Revu sur l'Autographe conservé à la Visitation de Nevers..

  A016003210 

 Des il y a long tems, vostre charité et pieté m'estant conneue par la reputation qu'elle s'est acquise en nostre [376] France, elle l'est maintenant beaucoup plus par lhonneur que Vostre Illustrissime Grandeur me fait en une affaire que la divine Majesté a permis, ou plustost ordonné, vous estre tumbee entre les mains, pour mon bonheur et advantage; puisque je ne pouvois rencontrer ni une plus grande, ni une plus utile et necessaire faveur que celle quil plaira a vostre bonté, Monseigneur, me departir, et laquelle me licentiant, ce me semble, de representer encor de rechef sur ce papier ma necessité, je ramenteveray en toute humilité a Vostre Illustrissime Grandeur, comm'il y a des-ja quelques annees, pendant son sejour en France, je m'essayay me rendre sous vostre authorité pour le sujet dont il est maintenant question; et sachant bien que de moy je ne meritois pas cet honneur, je fus favorisee de Monseigneur le Duc de Nevers, lequel vous fit offrir quelques supplications [377] pour moy.


17-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVII-Vol.7-Lettres.html
  A017002424 

 conservées au Monastère de Nevers..

  A017002460 

 Revu sur l'Autographe conservé à la Visitation de Nevers..


18-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVIII-Vol.8-Lettres.html
  A018003057 

 Revu sur l'Autographe conservé à la Visitation de Nevers.


19-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIX-Vol.9-Lettres.html
  A019000155 

 Difficulté pour la fondation de Nevers; d'où elle vient et le cas qu'il faut en faire.

  A019000156 

 Grandes lettres à Moulins pour l'affaire de Nevers.

  A019000157 

 — Comment le vœu de M me du Tertre en faveur de Nevers devra être exécuté.

  A019000167 

 Nouvelles réponses à Moulins et à Nevers pour éclaircir les premières.

  A019000194 

 MDCCXX. A la Mère de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers.

  A019000194 

 «Lettre d'attente.» — Quelle réponse faire à l'Evêque de Nevers.

  A019000195 

 Le Saint se réjouit de la savoir Directrice à Nevers.

  A019000195 

 MDCCXXI. A la soeur de Chastellux, Assistante de la Visitation de Nevers.

  A019000199 

 MDCCXXV. A la Mère de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers.

  A019000233 

 III. La fondation du Monastère de la Visitation de Nevers, huitième de L'ordre.

  A019002023 

 Sil est possible, faites vous porter en carosse jusques a la porte de vostre monastere a Nevers; et quoy qu'on vous aille au rencontre, ne descendes pas, et vous excuses sur ce que la barque sur l'eau, ou le carrosse sur terre sont vos monasteres portatifz.

  A019002059 

 J'ay bien envie de sçavoir que deviendra le Monastere de Turin, encor que je sois bien ayse que ce retardement donne loysir a ma Seur Favre de fonder celuy de Clermont, et a M me de Chantal celuy d'Orleans et de Nevers.

  A019002194 

 Cette commodité d'escrire vous semblera grande, ma veritablement et uniquement tres chere Mere, et neanmoins elle ne l'est pas; car il m'a fallu faire tant de despeches et escrire a tant de Praelatz pour Lyon, Nevers, Orleans, Clermont, quil me faut bien haster pour vous rendre mon devoir, ma tres chere Mere; je dis, selon que je le puis rendre..

  A019002312 

 Elle partira demain pour retourner a Grenoble, d'ou elle avoit amené une rare fille pour faire le nombre necessaire pour Nevers, Orleans et Paris..

  A019002350 

 Je n'avois garde de deviner que cette difficulté deust jamais arriver pour la fondation de Nevers, ma tres chere Fille; car, quelle consequence y a il? Une fille est a [285] Moulins: il faut donq qu'elle et ses moyens y demeurent.

  A019002351 

 Je le fay neanmoins, et dis qu'il seroit a propos que vous, qui aves traitté et qui estes conneuë, menassies ma Seur Paule Hieronime a Nevers, et l'y establissies le mieux que vous pourries, pour le sejour d'un mois ou deux.

  A019002353 

 Nevers sera une Mayson benite, et sa fondation ferme et solide, puisqu'elle a esté agitee..

  A019002364 

 Ce chevalier part avec tant de presse que je ne puis quasi pas vous escrire, ayant esté forcé d'escrire a Moulins des grandes lettres sur le sujet de la difficulté qu'on y a fait naistre pour la fondation de Nevers.

  A019002379 

 Mais il me suffit de vous avoir dit] ces quatre paroles, pour justifier le consentement que j'avois donné a vostre dessein pour Nevers; en quoy il ne me semble pas que j'aye rien commis digne de censure..

  A019002379 

 Que si vous aves engagé vostre ame envers Dieu pour la fondation d'un Monastere a Nevers, ça esté tout a fait sans m'en communiquer, sinon apres que vous en eutes contractee la sainte obligation.

  A019002380 

 Mays la consideration de vostre vœu me fait adhaerer au conseil du R. P. Recteur, qui porte, comme vous m'escrivés, que vous [fassies l'un et ne laissies pas l'autre; puisque, comme il est presupposé, il y a suffisamment pour ayder puissamment la fondation de la Mayson de Nevers et pour appuyer et secourir celle de Moulins.

  A019002398 

 Or, quand je passay a Moulins, je ne treuvay encor point de disposition en cett'ame pour faire le choix qu'ell'a fait du despuis; seulement, il y a, je pense, deux moys que je sceu par une de ses lettres qu'elle s'estoit engagee envers Nostre Seigneur, non seulement pour sa vocation, mays aussi pour l'erection d'une Mayson a Nevers.

  A019002399 

 Reste le desplaysir que, parmi cela, ma bonne Seur Jeanne [293] Charlotte peut recevoir d'avoir donné des paroles a Messieurs de Nevers qu'elle ne peut soustenir, car je croy que rien n'est capable d'affliger un'ame bien nee que cela; mays il ny a remede..

  A019002409 

 Revu sur l'Autographe conservé à la Visitation de Nevers.

  A019002527 

 Il me dit que, dans l'interest de Dieu et le mien, je devois me tenir en cette ville, mais neantmoins ayder l'establissement de la Mayson de Nevers, et quil me feroit voir par ses livres que c'estoit avec des tres bonnes raysons quil me disoit que je pouvois transmuer mon dessein.» Sur cela, je luy escrivis, et a vous, qu'elle [307] devroit suivre l'advis de ce Pere, qui ne peut estre que grave personnage, et donner une partie de ses moyens pour Nevers, gardant l'autre pour Moulins, en sorte qu'en faisant l'un elle n'abandonnast pas l'autre..

  A019002528 

 Le vœu n'est pas demeuré entre Dieu et M lle du Tertre; la promesse est passee jusques a Nevers et ell'y a esté acceptee, et en suite de l'acceptation, on a acchepté places, mayson et meubles jusques a dix mille francz, par commission donnee de la part de madamoyselle du Tertre.

  A019002530 

 Le Monastere de Nevers ira bien, apres que toutes ces bourrasques auront esté appaysees.

  A019002548 

 N'attendes nullement de moy une grande lettre, ma tres chere Mere, car j'ay tant escrit que je n'en puis plus, ayant esté contraint de faire de rechef des lettres pour Moulins et Nevers, plus longues beaucoup que l'ordinaire, pour m'esclarcir sur les responses que j'avois faites, car on ne m'avoit pas dit tout et je n'avois pas respondu tout..

  A019002549 

 C'est la verité que le vœu de M lle du Tartre ( sic ) ayant esté fait en faveur de Nevers, et ayant esté non seulement accepté, mays en bonne partie executé jusques a l'employ de dix mille francz fait par ordre et procuration de M lle du Tertre, il ny a nulle apparence qu'elle s'en puisse desdire, au moins quant a la part des-ja employee.

  A019002694 

 Aussi vous est il egal de donner ou icy ou la, puisque le Dieu du Monastere de [Nevers] est le Dieu du Monastere de [Moulins], et que toutes les deux Maysons sont egalement a la tressainte Vierge, et a vous, ma tres chere Fille, que je conjure de perseverer a m'aymer constamment en Nostre Seigneur, comme tres invariablement je suis a jamais et sans reserve vostre; et ne cesse point de supplier la tressainte Vierge, la plus aymee Dame du Ciel et de la terre, qu'elle vous ayme et vous rende toute bien-aymee de son Filz, par les continuelles inspirations qu'elle impetrera de sa Majesté divine..

  A019002967 

 Superieure a Nevers.

  A019002973 

 Ce m'a esté une grande satisfaction de vous sçavoir aupres de ma Seur Paule Hieronime, ou vous estes cooperatrice en l'establissement de cette nouvelle Mayson [368] de Nevers; car, des que j'eu le contentement de vous voir a Moulins, j'ay tous-jours pensé que Dieu vous employeroit a son service fort utilement..

  A019002981 

 A Nevers..

  A019003068 

 Nostre Seur Marie Aymee de Morville m'escrit une lettre toute sainte et dit qu'elle donnera tout a fait les xoooo (dix mille) francz a Nevers, sans contredit..

  A019003076 

 Revu sur l'Autographe conservé à la Visitation de Nevers.

  A019003084 

 Nostre bonne Seur Marie Aymee de Morville m'escrit une lettre toute d'or: qu'elle a deschiré son papier, qu'elle laisse les dix mille francz a Nevers, et qu'elle s'abandonnoit tout a fait a Dieu et a sa sainte Mere.

  A019003087 

 conservée à la Visitation de Nevers..

  A019003563 

 Deux jeunes filles de Nevers souhaitèrent d'y être reçues; leur père, M. Bonsidat, honnête bourgeois fort considéré pour son mérite et sa probité, voulut les présenter lui-même à la Mère Jeanne-Charlotte de Bréchard.

  A019003563 

 Et il expose le projet d'une fondation de la Visitation à Nevers même; les dots des demoiselles Bonsidat en feraient les premières avances, et, pour lui, il se chargeait d'obtenir les permissions nécessaires de l'Evêque, M gr Eustache de Saint-Phal, et de Charles de Gonzague-Clèves, suzerain du Nivernais.

  A019003564 

 Grande déception pour la jeune veuve! Elle déclare alors son dessein de se «dédier» à Dieu «avec tous» ses «biens en la Maison qui s'établira... à Nevers, [431] mais à la charge toutefois que» la «très chère Sœur Jeanne-Charlotte y sera toujours» sa «Mère.» Cela fit réfléchir.

  A019003564 

 Telle n'était pas pourtant la décision prise; le Monastère de Moulins avait encore besoin de sa vénérée fondatrice; il fut donc résolu que la Supérieure de Nevers viendrait d'Annecy avec les Sœurs destinées à Paris et à Orléans.

  A019003566 

 A Nevers, les permissions étaient obtenues.

  A019003566 

 L'on vous porte avec icelle le tesmoignage de la bonne volonté de Messieurs de Nevers en vostre endroit.» Le duc Charles de Gonzague, non seulement [432] liberté pour la fondation, mais il en montra beaucoup de satisfaction, à cause de «l'estime qu'il faisoit» du saint Evêque de Genève.

  A019003567 

 Quand on sut à Moulins ce qui se préparait pour Nevers, il y eut une clameur générale.

  A019003569 

 M. Michel Favre, qui conduisait la Mère de la Roche et ses compagnes en France, en parla à Paris; la Mère de Chantal prit aussitôt la plume: «J'ai appris par l'aumônier de Monseigneur de Genève,» dit-elle, «ce qui se [433] passe à Moulins contre le dessein de la fondation de l'une de nos Maisons à Nevers.

  A019003569 

 Sa parole était donnée à l'Evêque de Nevers pour aller elle-même commencer la fondation; son Supérieur, l'Evêque de Genève, l'avait désignée pour cela.

  A019003569 

 Vrai Dieu!... que ces soulèvements ont touché mon cœur!» Et mettant le doigt sur la plaie: «Quoi! il n'est question que d'argent! Et qu'est-ce que cela? Si M me du Tertre en veut plus donner à Moulins qu'à Nevers, au nom de Dieu soit-il! cela nous est indifférent; nous chérissons nos Maisons également, et la chère dame sait bien que c'est son pur mouvement qui l'avait portée à Nevers.

  A019003570 

 C'est pourquoi, ma très chère Fille, je vous conjure que, pour éviter les maux et embarrassements que je prévois, vous laissiez à la Maison de Nevers ce que vous lui avez déjà donné irrévocablement, et ce que vous ne pouvez lui ôter sans faire soulever de grandes mutineries en ce lieu-là: chose qui nous serait insupportable et nous ferait tout quitter...Il restera assez à Moulins, et la Supérieure que Monseigneur de Genève a envoyée vous donnera pleine satisfaction, n'en doutez point.».

  A019003571 

 Elle pousse à la roue et travaille si bien pour arriver à ses fins, qu'une seconde fois la condescendance des saints Fondateurs surnage au-dessus de toutes les difficultés; l'échange des obédiences est autorisé, mais l'Evêque de Genève demande cependant pour la Mère de Bréchard un séjour «d'un mois ou deux» à Nevers, afin d'aider à l'installation.

  A019003571 

 Il avait fallu précipiter les événements; sur le conseil du R. P. Foissey, Recteur des Jésuites, et du Supérieur du Monastère de Moulins, la Mère Paule-Jéronyme était partie secrètement pour Nevers, avec les Sœurs Marie-Hélène de Chastellux, Françoise-Jacqueline de Musy, Marie-Péronne de Gerbais, Marie-Marthe Bachelier et Jeanne-Elisabeth Brugerat.

  A019003571 

 La solution indiquée par la Sainte était conforme, pour le partage des biens, à celle que donna quelques jours plus tard François de Sales: que M me du Tertre demeure à Moulins avec ses vingt mille francs, et que les dix mille autres, déjà employés, appartiennent à la Maison de Nevers.

  A019003571 

 Restait à décider le choix de la Supérieure fondatrice de Nevers.

  A019003572 

 La première, blâmée par ceux de Nevers comme leur ayant manqué de parole, se voyait à Moulins en butte aux calomnies: on lui attribuait faussement «le dessein premier de M me du Tertre;» on l'accusait d'avoir eu «de grandes passions pour aller à Nevers» et de s'être montrée «trop inflexible et sensible sur la rupture de ce dessein;» des esprits «plus curieux que charitables» allaient plus loin, et semaient contre la vénérable Mère les bruits les plus injustes..

  A019003573 

 La seconde, qu'on n'attendait pas à Nevers, fut accueillie très froidement par Messieurs de la Ville.

  A019003575 

 Ceux de Nevers, l'Evêque en tête, invoquant la promesse authentique de M me du Tertre, demandaient le total des dix mille écus.

  A019003575 

 Le Saint, averti plutôt que consulté par la dame bienfaitrice, déclare que son vœu subsiste; et la Mère de Chantal multiplie ses lettres pour parer le coup qu'elle redoute: «Il faut, s'il vous plaît, contenter Monseigneur de Genève et le croire,» écrit-elle à M me du Tertre, «car pour nous, nous ne voulons avoir ni débat, ni procès; nous quitterions plutôt cent fois autant que ce que vous donnez, estimant incomparablement davantage la paix avec la sainte pauvreté, que tous les biens du monde et le moindre trouble... Or sus donc,... qu'il ne se parle plus de tout cela, s'il vous plaît, puisque vous avez le sentiment de Monseigneur de Genève et son avis; car nos pauvres Sœurs des deux Maisons sont affligées d'entendre parler de choses qu'elles n'ont pas accoutumé d'ouïr.» Et quatre jours après, elle expose les choses avec sa logique et sa clarté ordinaires à M. de Palieme, soutient le conseil donné par le Saint, supplie d'accepter ce moyen terme, et conclut: «Si après toutes ces raisons et prières très humbles, M me du Tertre et ceux de Moulins veulent agir contre ceux de Nevers, qu'elle fasse ce qu'il lui plaira; mais pour nous, nous n'attaquerons ni ne nous défendrons.

  A019003575 

 Les protecteurs du Monastère de Moulins, non contents de la somme qu'on lui abandonnait, réclamaient encore les dix mille francs qui avaient été livrés et employés à Nevers.

  A019003576 

 La Maison de Nevers paya même à celle de Moulins la rente des mille écus qui lui avaient été par elle avancés, jusqu'à ce qu'elle pût rembourser le capital.

  A019003576 

 Les deux Supérieures de Moulins et de Nevers apaisèrent elles-mêmes leurs amis, et les amenèrent à acquiescer aux décisions de l'Evêque de Genève et de la Mère de Chantal.

  A019003576 

 M me du Tertre, devenue au mois d'août Sœur Marie-Aimée de Morville, écrivait enfin, vers le 9 novembre, «une lettre toute d'or» à saint François de Sales, annonçant qu'elle laissait absolument à Nevers ces dix mille [436] francs, objet de tant de contestations.


20-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XX-Vol.10-Lettres.html
  A020000053 

 MDCCLXXXIV. A la Mère de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers (Fragment).

  A020000078 

 MDCCCVIII. A la Mère de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers.

  A020000148 

 MDCCCLXXVII. A la Mère de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers.

  A020000155 

 MDCCCLXXXIII. A la Mère de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers.

  A020000212 

 MCMXXXIX. A la Mère de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers (Fragment).

  A020000237 

 MCMLXIV. A la Mère de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers.

  A020000237 

 — Un ami du Monastère de Nevers. 230.

  A020003370 

 Celle de Nevers ne m'en a point escrit, mais les plaintes de celle de Moulins tesmoignent que l'opinion du bon droit est grandement enracinée en l'esprit de l'une et de l'autre..

  A020003370 

 Je suis bien plus scandalisé des contestes qui sont entre nos Seurs Superieures de Moulins et de Nevers pour certains mille escus que je voudrois plustost estre au fons de la mer qu'en l'esprit de ces filles.

  A020003788 

 Superieure du Monastere de Sainte Marie de Nevers.


25-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXV-Vol.4-Opuscules.html
  A025003490 

 Revu sur le texte inséré dans l' Histoire manuscrite de la Fondation de la Visitation de Nevers, conservée au Monastère d'Annecy..

  A025003547 

 En 1610 fut fondée une Congrégation de pieuses vierges et veuves oblates, dans la ville d'Annecy, du diocèse de Genève, qui, s'étant ensuite multipliée, donna naissance à des fondations semblables dans plusieurs villes: Lyon, Moulins, Grenoble, Bourges, Paris, Montferrand, Nevers, Orléans.


26-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXVI-Vol.5-Opuscules.html
  A026000152 

 XXXVIII. Lettre d'obédience a la Sœur Paule-Jéronyme de Monthoux, pour être Supérieure au Monastère de la Visitation de Nevers, 27 juillet 1620.

  A026000154 

 XL. Avis a la Mère Paule-Jeronyme de Monthoux, Supérieure de la Visitation de Nevers, décembre 1620-1621 (In é dit).

  A026002242 

 Par ces presentes Nous avons donné la sainte benediction de l'obeissance a Nostre tres chere Fille et Seur en Jesus Christ Paule Hieronyme de Monthoux, Religieuse professe du monastere de Sainte Marie de la Visitation de Nostre cité d'Annessi, pour aller demeurer en la ville de Nevers, y estre Superieure au monastere nouvellement establi en icelle [337] du mesme Institut, pour le tems qu'il sera jugé a propos, sans que par le sejour qu'a cet effect elle pourra faire hors le monastere de Nostre cité elle laisse d'estre tenue et censee veritablement pour Religieuse de la Mayson d'Annessi, a laquelle, en tems et lieu, selon qu'il plaira a Dieu en disposer, elle devra et pourra estre receuë avec toute sorte de charité et pour toutes sortes d'offices; priant Dieu qu'il la tienne en sa sainte main allant, demeurant et revenant, et qu'il rende toutes ses actions et tous ses travaux utiles a la vie eternelle..





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