19-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIX-Vol.9-Lettres.html |
A019000174 |
MDCC. A la sœur de Morville, novice de la Visitation de Moulins. |
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A019000199 |
— Les dix mille francs de la Sœur de Morville. |
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A019002958 |
Vous pourres ce pendant respondre a Monseigneur l'Evesque, que ces bonnes filles de Moulins, comme vous aussi, n'estes la que pour faire le service de la fondation, et que quand le Monastere sera establi, vous pourres [retourner] en vos Maysons de profession, ou [l'on vous recevra]; et que partant, il ne faut rien demander pour ces [filles] la a la Mayson de Moulins, qui demeure oblig[ee de les] recevoir quand elles retourneront.....Il semble qu'il n'est pas [a propos de presser] nostre Seur Marie Aymee de Morville; ains qu'elle mesme laisse librement les dix mille francz.. |
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A019003068 |
Nostre Seur Marie Aymee de Morville m'escrit une lettre toute sainte et dit qu'elle donnera tout a fait les xoooo (dix mille) francz a Nevers, sans contredit.. |
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A019003084 |
Nostre bonne Seur Marie Aymee de Morville m'escrit une lettre toute d'or: qu'elle a deschiré son papier, qu'elle laisse les dix mille francz a Nevers, et qu'elle s'abandonnoit tout a fait a Dieu et a sa sainte Mere. |
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A019003571 |
Mais si la future Sœur Marie-Aimée de Morville avait renoncé à [434] son premier projet, c'était surtout parce que, voyant les oppositions de la Ville, elle croyait que la Mère de Bréchard demeurerait en Bourbonnais. |
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A019003576 |
M me du Tertre, devenue au mois d'août Sœur Marie-Aimée de Morville, écrivait enfin, vers le 9 novembre, «une lettre toute d'or» à saint François de Sales, annonçant qu'elle laissait absolument à Nevers ces dix mille [436] francs, objet de tant de contestations. |