| 11-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XI-Vol.1-Lettres.html |
| A011001065 |
Voyla ce que pour cest'heure je puys escrire, me reservant de vous dire le reste a bouche plus seurement et bien tost, Dieu aydant, quand vous me favoriseres de vos saints conseilz et instructions, qui ne seront jamays [121] recueillys plus humblement et affectionnement que de moy. |
| 14-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIV-Vol.4-Lettres.html |
| A014003076 |
Mays celle du violement du cimetiere me regardant, affin d'y donner le plus digne et [367] prompt remede que je puis, je vous supplie tres humblement, Monseigneur de vouloir, en quelque journee aggreable, prendre la peyne de faire la reconciliation requise; en quoy vous favoriseres infiniment ce pauvre peuple qui, ne pouvant mais du crime, ne laysse pas de souffrir la privation de cette commodité spirituelle, et m'obligeres de rechef a vostr'obeissance, a laquelle pour tant d'autres raysons je suis tout voué et dedié.. |
| 16-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVI-Vol.6-Lettres.html |
| A016002123 |
En quoy, toutefois, ni eux, ni moy, qui ay eu la charge d'en faire les propositions, n'avons rien eu en plus grande consideration que de faire les traittés de sorte que l'alliance et correspondance qui est et doit estre entre le college de Savoye Chappuysien de dela et celuy de deça, fut saintement et religieusement conservee en tout ce qui en depend; qui nous fait croire que non seulement vous aggreeres, mais que vous loüeres ce qui a esté fait et en favoriseres davantage ce college, puisque Dieu y sera mieux servi et la jeunesse mieux instruite.. |
| 19-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIX-Vol.9-Lettres.html |
| A019003027 |
Je vous supplie seulement de luy donner le loysir de vous faire ma supplication et, si vous la juges [373] juste et equitable comme je croy qu'elle le soit, vous me favoriseres en l'enterinant. |
| 20-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XX-Vol.10-Lettres.html |
| A020000265 |
Et sur ce mesme fondement, j'ay une ferme esperance que vous me favoriseres de vostre bienveüillance, ainsy que tres humblement je vous en supplie, me resjouissant de tout mon cœur de vous sçavoir au rang ou vous estes en la cour, comme en un chemin par lequel, moyennant la grace de Dieu, vous arriveres un jour aux honneurs ausquelz l'exemple de vos predecesseurs et vostre vertu vous doyvent faire justement [1] aspirer. |