Mot «Ecrivait» [10 fréquence]


07-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome VII-Vol.1-Sermons.html
  A007000434 

 Dans une de leurs fréquentes communications épistolaires, le grand Augustin écrivait à Jérôme (je cite deux brillantes lumières de l'Eglise): « Bien que, comme titre honorifique, l'épiscopat soit supérieur au simple sacerdoce, cependant, sous bien des rapports, Augustin est inférieur à Jérôme.


13-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIII-Vol.3-Lettres.html
  A013000280 

 C'est des habitants de Rumilly qu'il écrivait, en s'excusant de dire une « petite folie... Je presche si jolyment a mon gré en ce lieu, je dis je ne sçai quoy que ces bonnes gens entendent si bien, que quasi ilz me respondroyent volontier.


16-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVI-Vol.6-Lettres.html
  A016003582 

 Leur première entrevue avec le Saint eut lieu dans la matinée du 27; il fut «bien content,» écrivait-il l'après-midi à la Mère de Chantal, «de voir ces bonnes damoyselles..., et particulierement M me de Gouffier, que je voy toute telle que vous m'aves dit.» Dès l'abord, les deux Fondateurs avaient donc distingué la noble étrangère qui tranchait sur les autres par son esprit de décision et sa vive personnalité..

  A016003586 

 Vers le 8 novembre 1613, le Saint écrivait à M me de la Fléchère: «Tout va extremement [421] bien en cette petite Congregation.

  A016003599 

 «Toute cette belle compagnie,» écrit une annaliste, «fut très bien reçue à Annecy, tant par le saint Prélat que par notre bienheureuse Mère de Chantal,» à qui on donna pour coopératrices «nos Mères Marie-Jacqueline Favre, Assistante et Directrice; Péronne-Marie de Chastel, économe, dépensière, surveillante et robière; Marie-Aimée de Blonay, conseillère, sacristine, portière et lingère: toutes sujets d'élite et de choix.» Le 25 janvier 1615, François de Sales écrivait à M me de la Fléchère: «Nostre bonne madame de Chantal part demain pour aller coucher a Clermont, ces messieurs et ces dames de Lion estant venus la prendre.».


19-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIX-Vol.9-Lettres.html
  A019003568 

 Peut-être ces arrêts n'étaient-ils pas tout à fait contre le gré de la prisonnière! — «J'eusse grandement souhaité qu'elle n'eût bougé de notre maison,» écrivait la Sainte à M. de Palierne, «assuré que l'on doit être que c'est un lieu où l'on ne force personne; mais bien, puisque Dieu a permis cela, patience! Nous vous supplions toutefois que, puisqu'elle est résolue de continuer sa bonne volonté, elle y retourne au plus tôt.».

  A019003576 

 M me du Tertre, devenue au mois d'août Sœur Marie-Aimée de Morville, écrivait enfin, vers le 9 novembre, «une lettre toute d'or» à saint François de Sales, annonçant qu'elle laissait absolument à Nevers ces dix mille [436] francs, objet de tant de contestations.


25-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXV-Vol.4-Opuscules.html
  A025000485 

 C'est assurément cette copie que le Fondateur revoyait lorsque, le 7 août 1621, il écrivait à la Sainte: «Il n'y a pas moyen de vous envoyer les Constitutions jusques a la semaine suivante; car il faut que je les revoye, ayant des-ja, des le commencement, treuvé des fautes en l'escriture.» (Tome XX, p. 127.) En effet, à la sixième page nous remarquons à la Constitution De l'obeissance deux corrections de sa main.

  A025000496 

 Au sujet de ce titre qui manque au Manuscrit, sainte Jeanne-Françoise de Chantal écrivait à la Mère Favre le 17 octobre 1618 ( Lettres, vol. I, p. 282): «Demandez à notre très cher Père, Monseigneur, s'il ne faut pas mettre un titre au fin premier chapitre de nos Constitutions: De la fin pour laquelle elles ont été dressées; et comme il le vous dira vous l'y ferez mettre lorsque nous vous envoierons les Règles.» La Mère Favre était alors à Lyon, où saint François de Sales devait s'arrêter avec l'ambassade du prince cardinal Maurice de Savoie; mais cet arrêt fut si court qu'il eut à peine le temps de voir ses Filles.

  A025002317 

 K. Or, le 18 avril 1615 le Fondateur écrivait à la Mère de Chantal, à Lyon: «Prenés garde a retenir la liberté des sorties extraordinaires: entre lesquelles, les Jubilés, la visite des proches malades, ouy mesme de quelques signalés bienfacteurs ou grand amy de la Mayson, et mesme de quelque sermon, comme celuy de la Passion, doivent, ce me semble, estre reservees...» (Tome XVI, pp. 344, 345; cf. aussi pp. 331, 332, 347.) A cette époque, donc, les articles 7 et 8 des Constitutions de 1613 étaient encore en vigueur..





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