12-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XII-Vol.2-Lettres.html |
A012002708 |
Voyla, ce me semble, que je vous ay respondu a tout ce que vous me demandies, Madame ma chere Seur. |
13-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIII-Vol.3-Lettres.html |
A013000780 |
Vous me demandies comme je voulois que vous fissies a l'entreveuë de celuy qui tua monsieur vostre mary; je respons par ordre.. |
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A013001888 |
Vous me demandies encor, ma chere Seur, un petit memorial des vertus plus propres a une femme mariee; mais de cela je n'en ay pas le loysir. |
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A013002304 |
Si c'est celle-la de laquelle vous me demandies de la communier, je puys bien dire qu'ouÿ, qu'elle est bien capable.. |
17-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XVII-Vol.7-Lettres.html |
A017002272 |
Pour l'absolution de vos pechés de tant d'annees que vous me demandies, ma tres chere Fille, vous deves sçavoir que Dieu, par sa bonté, les aura effacés au mesme instant que vous luy voulustes donner vostre cœur, par la resolution que son inspiration vous fit prendre de ne vivre plus que pour luy. |
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A017003623 |
Vous me demandies l'autre jour, par la derniere lettre que j'ay eu le bien de recevoir de vous, des nouvelles de [379] monsieur de Charmoysi, mon parent; en quoy vous tesmoignes vostre bon et beau naturel, et cet honneste chevalier vous en sera grandement obligé quand il le sçaura; ce qui sera dans peu de jours, que luy et sa femme viendront en cette ville, puisque Monseigneur le Prince de Piemont ayant reconneu en cette derniere occasion sa valeur et suffisance es choses de la guerre, l'a creé grand maistre de l'artillerie de cet Estat, et despuis a esté embrassé et caressé sans mesure par Monsieur le Duc de Nemours, qui l'invitâ de venir en cette ville et le traitta tres honnorablement. |
25-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXV-Vol.4-Opuscules.html |
A025000456 |
Mays quand la necessité de la correction vous pousse de dire des paroles aspres pour reprimer les inferieures, si en cela vous aves outrepassé la rayson on ne requiert pas de vous que vous leur demandies pardon, affin que, prattiquant une trop grande humilité envers celles qui doivent estre sujettes, on n'esnerve pas l'authorité de gouverner. |