A025003478
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Mais comme Nos bien aimées Sœurs dans le Christ, Jeanne-Françoise Frémyot, Supérieure de la Maison, et Marie-Madeleine de Mouxy Nous ont exposé qu'elles avaient encore la propriété de certains biens dans le monde, dont elles n'ont pu jusqu'ici disposer [506] commodément, et auxquels cependant elles désirent renoncer avant d'être tenues aux lois de la solennité des vœux: en conséquence, Nous leur fixons, à toutes deux, le délai de six mois, à dater du jour des présentes, pendant lequel elles pourront licitement disposer des biens susdits; après lequel délai, qu'elles soient tenues de déclarer si elles veulent se soumettre à la solennité des vœux et à ses effets.
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