19-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIX-Vol.9-Lettres.html |
A019000301 |
Et comme se pouvoit il faire autrement, apres tant de caresses receues a Andilly, et par M. vostre pere en cette ville? car, a mon advis, il m'a veu et entretenu de bon cœur, et croy qu'en fin j'aurois grand acces en son amitié, si son loysir et mon sejour me permettoyent de le voir souvent. |
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A019000404 |
Le second jour se passe, ma tres chere Fille, des mon arrivee en ce lieu, et je n'ay encor sceu voir monsieur d'Andilly, quoy que je l'aye desiré. |
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A019000462 |
J'ay et auray a jamais part a vos contentemens et a vos desplaysirs, puisque je suis inseparable d'affection d'avec vous et vostre famille benite de Dieu, laquelle, en la personne de M. d'Andilly et de moy, vous conjure [30] d'avoir bien soin de vostre personne pour ne point tant travailler des-ormais, qu'a mesure que l'aage decline vous deves vous soulager par un juste repos. |
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A019001140 |
De M. d'Andilly et de M. Arnauld mon filz, il n'en faut pas douter. |
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A019001140 |
[123] Certes, quand je me souviens comme M. d'Andilly me parla de son petit François, j'en suis encor consolé. |
20-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XX-Vol.10-Lettres.html |
A020000408 |
Or sus, de plus je salue M. d'Andilly et madamoyselle d'Andilly; en somme, toute cette chere famille, ou la crainte, ains l'amour de Dieu regne, et sur laquelle j'invoque tres affectueusement la providence et protection divine. |