Mot «Cosin» [17 fréquence]


11-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XI-Vol.1-Lettres.html
  A011001273 

 Monsieur mon Cosin,.

  A011001278 

 Vostre plus humble cosin et serviteur.

  A011001280 

 A Necy, le dernier julliet 95, ou je bayse bien humblement les mains de monsieur et madame de Monthou, mes cosin et cosine..

  A011001639 

 Ce pendant j'y envoye mon cosin.

  A011001750 

 Monsieur mon Cosin,.

  A011001756 

 Vostre tres humble et affectionné serviteur et cosin,.


12-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XII-Vol.2-Lettres.html
  A012001909 

 Monsieur mon Cosin,.

  A012001915 

 Cosin et serviteur plus humble,.

  A012002282 

 Monsieur mon Cosin,.


13-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIII-Vol.3-Lettres.html
  A013001408 

 J'avois des-ja sceu par la voye de mon frere de la Tuille le desir que vous avies pris de faire donner page mon cosin vostre filz a monsieur d'Albigni, et tout [154] aussi tost je m'enquis sil y avoit place, ou vacante ou preste a vaquer.

  A013001427 

 Je feray cependant ressouvenir de la bonne affection qu'il a tesmoigné d'avoir au soulagement de monsieur de la Faverge mon oncle, et y feray tout ce que je pourray; mays si Monseigneur le Prince revenoit, j'appreuverois beaucoup plus que mon cosin luy fust donné qu'a nul autre..

  A013001681 

 Et voyant au dedans la main de monsieur de Charmoysi mon cosin, je n'eusse pas pour cela laissé de la lire, si je n'y eusse reconneu le mot de vos amitiés particulieres.


14-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XIV-Vol.4-Lettres.html
  A014001852 

 La nouvelle que mon jeune frere m'a donnee de vostre meilleure santé m'a fort consolé, et neanmoins je ne laisse pas d'appreuver l'advis de mon cosin Chaudens, que le sieur Marcofredo soit consulté sur vostre santé, ou le faysant venir a Sales, ou, si vous le pouvés, allant vous mesme a Geneve pour trois ou quattre jours; mais en ce dernier cas, il faudroit faire le voyage bien tost pour praevenir les grandes froideures..


24-Oeuvres de Saint Francois de Sales-Tome XXIV-Vol.3-Opuscules.html
  A024002725 

 Car, quant aux Ducz, leurs prætentions ayant esté examinees, [270] ilz en furent debouttés par l'Empereur Federic Barberousse des l'an 1162, comm'il appart (sic) par [271] patentes authentiques par lesquelles Berthod, Duc de Kheringhen, ayant obtenu superiorité sur Geneve sous ombre du vicariat d'empire, avec intention de transferer ladite superiorité au comte de Geneve son cosin, ayant en fin comparu en la court imperiale avec ledit comte, ladite obtention et concession fut cassee et declairee nulle en leur praesence, comme surreptice qu'elle estoit, et la sauveraineté confirmee a l'Evesque et a ses successeurs privativement a tous autres, sans reservation d'autre reconnoissance a l'Empereur sinon de faire litanies et prieres quand il passeroit personnellement par ladite ville.

  A024002726 

 L'an 1362, Charles 4, Empereur, ayant donné authorité sur Geneve au comte de Savoye son cosin, il la revoque, declairant n'avoir voulu præjudicier aux anciens droitz de l'Evesque.





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